Charli ENCOR


joue dans la catégorie des fous...

Charli ENCOR

Charli ENCOR, c’est comme un couteau suisse, quand on l’ouvre y’a plein de choses dedans.
Il peut tout faire Charli, et si possible de travers. Y’a tellement de gens qui font tout bien comme il faut, qu’il en faut qui fassent tout faux.


Charli ENCOR a la dégaine plus vite que son ombre et l’humour à bout portant, la Provoc’n roll, deux cordes à sa guitare et plus d’un personnage à son arc. Normal, Charli c’est le premier Clown Rock catégorie mi-lourd…

Patrick Hebrard (Philosophe)


Programmer Charli ENCOR, c’est comme ouvrir les fenêtres ou si vous préférez offrir au public un moment d’humanité et de vérité.
Charli c’est l’humour qui vous touche au plus profond de vous, là où les hommes se regardent bien droit dans les yeux !

Patrice LAPLACE (Programmateur Service Culturel)

Des références


toujours des références...

Charli ENCOR

Charli ENCOR a joué plus de deux mille spectacles dans la rue, entre St Germain des Prés, Beaubourg et de nombreux festivals (Avignon, Aurillac, Chalon-sur-Saône, Bourges, Lausanne, Montréal, etc…). Et aussi, au Lundi du rire à l’Olympia, en première partie de Jacques Higelin.

Au Splendid avec son compère Diabolo, près de quatre mois au Point Virgule et dans de nombreux cafés-théâtres.

 

Accaparé par les péripéties à succès de son personnage BéBé Charli qu’il promène dans les rues de toute l’Europe, on retrouve aujourd’hui Charli ENCOR, seul sur scène ou sur parking dans « To fou or not to fou ».

Charli ENCOR joue dans la catégorie des fous absurdément tendres.

Spectacle plein de surprise, de rires et d’interactivité...

 

Spectacle tout public, en salle ou extérieur.

La presse était là !


Et donc elle en parle, forcèment !

La folie de Charli ENCOR a gagné le public.
Charli Encor avec son spectacle, To fou or not to Fou, a mis tout le monde dans sa poche… et certains spectateurs sur la scène.
Jouant avec les mots et les objets, il a fait naviguer le public aux limites du délire et de l’absurde, prouvant, par l’exemple, que le rire est bien le propre de l’homme.
Dans le genre, c’est du grand art.
Un art de bateleur forgé sur les places publiques, un mélange percutant de préparation fignolée dans les plus petits détails et d’improvisation ébouriffante.
Avec, toujours, cette complicité totale avec la salle qui fait de Charli Encor un phénomène unique et irremplaçable.
L’écho RÉPUBLICAIN - Vu / Au Théâtre Portail Sud (9 mai 2005)


Charli ENCOR nous a offert une heure de délire devant une salle comble surexcitée qui ne demandait que cela.
Le Havre Libre


Le bonhomme n’est pas sans rappeler Harpo, l’un des fameux Marx Brothers.
Le cinéma semble d’ailleurs fait pour lui. Il éclatera sûrement un jour prochain sans que personne ne s’y attende.
En attendant, Charli ENCOR est clown et ça lui va bien.
L’Est républicain


Charli ENCOR, c’est ce que crie le public lorsqu’il fait mine d’écourter son spectacle, mais c’est aussi son nom, on s’en souvient…

Midi libre


Charli ENCOR n’a pas son pareil pour jouer avec le public qui participe à ses histoires et autres expériences.
En fait ce qui nous a aussi époustouflés, c’est son remarquable sens de l’improvisation.
Ouest France


Un étonnant contact avec le public, son complice. Un cas unique dans le monde et ses environs.
Presse Océan


Charli ENCOR se joue de tout. Il est le parodiste des parodistes.
Il s’agit à n’en point douter de l’un des spectacles les plus réussis du festival.
Le Progrès – Festival Chalon dans la rue


Charli ENCOR, un personnage à tête d’ananas au look s’étageant du premier homme des cavernes jusqu’au loubard des beaux quartiers de Belleville.
Le Dauphiné


Ce champion de la dérision pousse le misérabilisme scénique à son apogée, son truc tout rater pour réussir, et fait jaillir ce fameux rire bénéfique qui décoince !
L’Express


Au début on se demande ce qui va bien pouvoir nous arriver...et puis au fil du spectacle Charli devient un ami avec qui on déconne encore et encore, jusqu’à en pleurer !!!
A ne pas manquer.
billettereduc.com


Son spectacle, c’est l’art de la dérision.
Ouest France